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Numérique responsable

Qu’est-ce que c’est ?

Afin de réduire notre empreinte carbone générée par notre métier, le numérique responsable ou « Green IT » en anglais revendique une utilisation plus sobre et moins énergivore du numérique.

En somme, il s’agit tout simplement de continuer d’utiliser les technologies pour développer notre activité, mais tout en mettant en place des solutions au quotidien pour réduire notre impact environnemental.

Mais alors, comment consommer « responsable » ?

Malgré la crise du réchauffement climatique actuelle, il nous est encore possible d’inverser la tendance, notamment grâce au « Numérique Responsable ». A mi-chemin entre la nécessité de faire avancer nos solutions digitales et celle de préserver l’environnement, le « Numérique Responsable » nous préconise différentes pratiques à mettre en place afin de provoquer un changement durable.

En quelques chiffres :

  • 4% : la part d’internet dans les émissions de gaz à effet de serre, soit 50% de plus que les émissions de GES des transports aériens mondiaux par an.  

  • 9 Milliards : le nombre d’appareils (ordinateurs, smartphones, objets connectés, etc.) dans le monde. Selon, l’ADEME, On estime que 70 à 90% des Déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE) ne suivent pas les filières de recyclage réglementées.  

  • 22 kg : la quantité de produits chimiques nécessaires à la fabrication d’un ordinateur, en plus des 240kg de combustible et 1,5 T d’eau.  

  • 4 ans : la durée d’utilisation d’un ordinateur. Entre 1985 et 2015, la durée e vie d’un ordinateur a été divisée par 3, passant de 11 à 4 ans. 

Numérique responsable

Le « Numérique Responsable » est une démarche d’amélioration continue qui tente de réduire notre empreinte écologique, économique et sociale de nos métiers.

Fresque numérique

Le but de ce « serious game » est de sensibiliser et former le personnel SOMEI aux enjeux environnementaux du numérique.

SATAWAD

Notre projet SATAWAD positionne l’utilisateur au centre de son environnement de travail numérique en lui permettant d’y accéder facilement et de manière sécurisée à tout moment, de n’importe où, avec n’importe quel équipement, tout en diminuant notre empreinte carbone. 

One for all challenge

SOMEI a lancé le challenge One for All pour sensibiliser les collaborateurs à l’impact du numérique sur l’environnement et impulser des bonnes pratiques autour d’un challenge collectif et solidaire.

A titre d’illustration de notre démarche de sobriété numérique, INTERXION notre fournisseur principal de data center a mis en place une solution de refroidissement innovante et éco-responsable sur leurs datacenters sur Marseille.

Cette dernière qualifiée de River Cooling, contribue durablement au plan climat local.

40% de la dépense énergétique d’un data center est liée à la production et distribution de froid pour les serveurs des clients. Ce projet réduit drastiquement la consommation énergétique des data centers d’Interxion situés sur le port de Marseille (MRS2, MRS3, et bientôt MRS4).

En quelques chiffres :

La solution de refroidissement par River Cooling est ainsi 30 fois plus économe en énergie qu’une solution de refroidissement classique, permettant d’économiser l’émission de 795 tonnes de CO2 par an, soit 5560 arbres plantés chaque année.

Dans une démarche d’économie circulaire, cette solution permet d’alimenter le réseau de chauffage urbain d’Euro-Mediterranée soit 500.000 m2 de bureaux et habitations.

Cette innovation environnementale de type free cooling à eau permet de réaliser un échange de calories avec l’eau d’une ancienne installation industrielle, dite Galerie de la Mer, dont la température est à 15°, couvrant 100% du temps des besoins en refroidissement (98.9% du temps en tenant compte des opérations de maintenance) des data centers situés dans le Grand Port Maritime de Marseille. Cet ouvrage permettait d’évacuer les eaux d’infiltration et de ruissellement des anciennes Mines de Gardanne dans le but d’assurer la protection des mineurs.

La technologie permet d’éviter l’usage de groupes froids, et donc de limiter la consommation énergétique des bâtiments et leur empreinte carbone.

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